Ecrire une histoire initiatique feel good

Qu’est-ce qu’un roman d’apprentissage ?

Le roman d’apprentissage se caractérise par le cheminement du héros qui, en traversant des épreuves, se forge une conception de la vie. 

Quelle est la différence avec un ouvrage feel good ?

Le roman feel good donne le sourire et se termine de manière positive. Ce sont soit des histoires pour faire plaisir et passer un moment agréable avec des personnages réalistes, soit des romans qui font réfléchir, avec une quête de sens. 

Qu’en est-il du roman initiatique ?

Le roman initiatique propose l’initiation d’un personnage à la vie. 

Le roman initiatique qui a marqué Laurenn Tainders ne date pas d’hier : c’est le best-seller de Paolo Coelho, L’alchimiste, publié dans les années 1990 en France. C’est l’histoire d’un jeune berger qui va parcourir le monde dans le but d’accomplir sa quête. 

« Si vous écoutez votre cœur, vous savez précisément ce que vous avez à faire sur terre. Enfant, nous avons tous su. Mais parce que nous avons peur d’être désappointés, peur de ne pas réussir à réaliser notre rêve, nous n’écoutons plus notre cœur. Cela dit, il est normal de nous éloigner à un moment ou à un autre de notre « Légende personnelle ». Ce n’est pas grave, car, à plusieurs reprises, la vie nous donne la possibilité de recoller à cette trajectoire idéale. »

Paulo Coelho

Cette philosophie anime la maison d’édition Laurenn Tainders. 

La quête de sens est le fil conducteur de notre ligne éditoriale. 

Pour les enfants qui ont des rêves en tête et sont confrontés à des difficultés extérieures ou des barrières intérieures, les récits initiatiques ou romans jeunesse apportent des réponses et enseignent l’espoir.

Pour un lecteur plus mûr qui sent que les obstacles de la vie sont destinés à lui montrer une voie plus lumineuse que celle qu’il a empruntée, le roman feel good offrira inévitablement des solutions.

Au gré des ouvrages publiés par Laurenn Tainders et en fonction de son âge, le lecteur va découvrir des clés pour surmonter des obstacles, des valeurs positives pour se dépasser, des notions qui permettent de sortir triomphant des épreuves de l’existence.

Bien sûr, les ouvrages sont d’abord et avant tout créés pour procurer le plaisir inégalable de la lecture, mais si en plus ils proposent des indications pour vivre une vie meilleure, pourquoi s’en priver ?

Les autrices puisent en elles-mêmes, à travers leur compréhension de l’existence, les ressources qui vont servir de base à leurs histoires. Le happy end final (et attendu) offre une vision positive de la vie dans l’idée que, quelle que soit la difficulté à surmonter, il y a une leçon à en tirer. 

Est-ce que ce court explicatif vous aurait donné envie de prendre un roman et de le lire, un sourire aux lèvres ?

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